L’eau Messagère
L’eau fait l’objet de plusieurs dizaines de publications scientifiques chaque semaine. Elle est omniprésente dans toute la création. Sans elle, pas de vie. Au-delà de son rôle structurel, certains scientifiques pensent aujourd’hui que l’eau est aussi un support d’informations, sans lesquelles la vie est impossible. Cette idée qui s’inscrit parfaitement dans une lecture quantique du monde créé permettrait aussi d’expliquer l’efficacité de l’homéopathie et plus largement le phénomène de la «mémoire de l’eau» exposé par le Dr Jacques Benveniste en 1988. Notre eau de boisson est-elle concernée par ce concept? Et quelles en sont les implications dans nos choix de vie?
L’EAU
En physique classique, on définit l’eau selon son état: solide (glace, neige), liquide (eau), gazeux (vapeur). En chimie c’est une molécule (H2O) composée de 2 atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène. Ces 3 atomes sont reliés entre eux par des liaisons dites «covalentes». L’eau est aussi une substance capable d’en dissoudre d’autres, en bref un solvant. En biologie, l’eau représente environ 75% du poids du corps d’un adulte. Mais ce chiffre monte à 99% si l’on prend en considération l’eau interfaciale, celle qui se trouve au voisinage des cellules et des molécules (protéines, ADN, etc). Le Pr Marc Henry définit ici un 4ème état de l’eau: l’EAU MORPHOGÉNIQUE. Par exemple, les atomes formant une protéine sont environnés de 4 couches d’eau. Pour faire une image on dira que, dans cette protéine, les atomes forment le squelette, l’eau constitue la chair. Sans cette eau, la protéine n’aurait pas les mêmes propriétés.
L’INFORMATION
Pour définir simplement la notion «d’information», on peut dire qu’il s’agit d’une donnée immatérielle qui va utiliser un support matériel pour se manifester et aboutir à un acte créatif. C’est le cas du «bit» en informatique ou de l’information génétique dans l’ADN.
De la même façon, l’eau est une matière qui porte l’information. En effet chaque molécule d’eau est unie à ses semblables par des liaisons dites «hydrogène» (H). Ces dernières sont responsables de l’état de l’eau (voir ci-dessus). Il semble que ces liaisons H soient la matière qui supporte l’information, car la présence d’une substance dissoute dans l’eau modifie la structure des liaisons H. Cette modification des liaisons H persiste, même si la substance a disparu. C’est la fameuse «mémoire de l’eau», principe utilisé par l’homéopathie. A l’image d’un vêtement que vous avez porté une journée et qui garde “une empreinte” de votre corps, même après que vous l’ayez quitté. La composition du tissu n’a pas changé, mais les liens entre les fils sont différents, plus distendus. Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que le meilleur moyen de retrouver la tension originelle du tissu est de le plonger… dans l’eau ! Une piste de réflexion que je n’ouvre pas dans cet article.
L’eau de boisson n’échappe pas à la règle. Hors l’eau de boisson comporte elle aussi des liaisons Hydrogène, porteuse d’informations: celles du lieu de leur genèse, leur trajet naturel, leur captation et embouteillage éventuels, leurs traitements, les matériaux côtoyés, leur exposition aux rayonnements solaire, tellurique ou à ceux des antennes relais…On est donc en droit de se demander quelles informations parviendront à nos cellules selon le chemin suivi par notre eau de boisson.
Enfin, n’oublions pas ce que la naturopathie nous enseigne : rien de tel qu’un contact avec les gouttelettes d’eau des cascades, des embruns, de la pluie, voire de la douche pour se recharger en énergie vitale. Il est probable que la médecine quantique expliquera un jour le lien entre apport informationnel de l’eau et niveau d’énergie vitale du corps. En attendant, osons boire une eau de qualité en ayant conscience du message qu’elle porte.
Référence biblio :
- «Les messages cachés de l’eau» Dr Masaru Emoto
- «L’eau et la physique quantique. Vers une révolution de la médecine» Pr Marc Henry.
- Vidéo YouTube : « Luc Montagnier – La mémoire de l’eau »
Bâtonnets jaunes = liaisons covalentes
Pointillés noirs = liaisons hydrogène (H)